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4 décembre 2004 -à
la Rotonde. |
Madame Real a d'abord défini, à partir d'exemples nationaux, les critères qui conduisent les Monuments Historiques à décider de protéger un édifice industriel. Ainsi, les Salines Royales d'Arc et Senans, ou le Familistère Godin de Guise présentent à la fois les caractères d'originalité, de représentativité, de conservation, de valeur historique, d'intérêt scientifique et technique, de réhabilitation qui ont justifié leur classement.
Sur les 1 100 sites industriels protégés de France, la Haute-Normandie en recèle 27. Six pour l'Eure et 21 pour la Seine Maritime. Pour l'Eure, ce sont six moulins : trois moulins à vent et trois moulins de rivière dont le Moulin d'Andé qui est classé et le Moulin de Muids qui est inscrit.
En Seine-Maritime, on trouve plusieurs maisons-ateliers de la rue Eau de Robec à Rouen, la Corderie Valois, le moulin de l'abbaye de Fécamp, la minoterie d'Aumale ou encore six usines textiles d'Elbeuf.
La conférencière a conclu en évoquant ce que chacun souhaitait entendre : la possibilité de la protection d'au moins un édifice lovérien : la manufacture Frigard rue du Quai, l'usine Audresset ou surtout la Manufacture Decrétot, rue Mendès France.
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